Quelques phrases qui trainent dans les brouillons...

Si tout se vaut, rien ne se discute.

L'Avoir, le Faire et le Paraître jouent toujours contre l'Être.

Au lieu de parler de "besoin de sécurité" on devrait parler de "besoin de sentiment de sécurité"

La spiritualité, c'est rationnel.

Les vivants c'est plus important que les morts. Mais un enterrement c'est plus important qu'un mariage.

Se livrer, c'est se délivrer.

Au lieu de dire que vous n'avez pas de temps, dites que vous privilégiez d'autres choses.

La vengeance est un plat qui ne se mange pas, le pardon, un don qui nous rend moins cons.

Pour rester vous-mêmes, Changez !

Quand on ne change rien, rien ne change.

Positiver ce n'est pas regarder la réalité sous un angle positif. Positiver, c'est regarder la réalité.

Finalement, ce n'est pas très amusant de s'amuser.

Lorsque le devoir est un plaisir, ce n'est plus qu'un plaisir.

La chance n'existe que pour ceux qui n'en n'ont pas.

J'ai un certain mépris pour la Déco.

La douceur n'a pas d'heure.

Comments

[helenablue]

Moi, c'est la douceur n'a pas d'heure qui m'inspire...

[claudiogene]

Tu as raison Christian. C'est d'ailleurs erroné d'opposé vie et mort. C'est la naissance l'opposé de la mort.

Je suis content que tu cites Elisabeth Kübler. Elle est l'auteur du fameux schéma du travail de deuil, appelé aussi Vallée des larmes.

Je viens de vérifier, nous en avions déjà discuté, entre commentateurs, dans mes deux anciens blogs.

(PS J'aime découvrir un de tes commentaires au moment même où, ici, nous parlons de toi ;-)

[christian]

Des phrases de ton brouillon, je retiens celle ci: Les vivants, c'est plus important que les morts.



La mort, est passée sous silence, sujet tabou. Et pourtant, au même titre que la naissance, elle fait partie intégrante de notre existence.



C'est une des phrases d'un livre qui était dans notre bibliothèque depuis 1985, et je ne l'avais pas encore lu.

Son titre :

La mort, dernière étape de la croissance.

Auteur : Dr Elisabeth Kübler-Ross